Le groupe armé Résistance islamique en Irak bekrefter avoir attaqué la base d’Al-Harir, dans le nord de l’Irak, rapporte Reuters. Il ya des soldats américains sur la base.

Les forces de sécurité américaines nient que la base ait été attaquée, écrit Reuters dans une mise à jour.

Dans le même temps, Al Jazeera écrit que plusieurs sources des milices affirmment avoir attaqué dans la matinée la base d’Al-Tanf en Syrie et la base d’Ain al-Asad dans l’ouest de l’Irak.

Tous deux abritent des soldats américains. Sur cette dernière se trouvent également une trentaine de soldats norvégiens.

La defense nie

La base d’Ain al-Asak a déjà fait l’objet de plusieurs attaques. Mais samedi, tout se passe normalement.

– Nous avons parlé à notre commandant des forces norvégiennes à la base d’Ain al-Asad en Irak, et la base n’est pas attaquée. C’est une situation normale là-bas maintenant, a déclaré à NRK Hanne Olafsen, porte-parole du quartier général opérationnel des forces armées norvégiennes.

– Les forces armées norvégiennes ont plusieurs contributions de forces au Moyen-Orient, notamment, en Jordanie, mais pour l’instant aucun d’entre eux n’est touché par les attaques en Syrie et en Irak.

Les soldats norvégiens font partie de l’opération Inherent Resolve (OIR), qui aide depuis 2014 l’Irak à combattre l’EI.

La société s’appelle Task Force Viking et a pour mission de sécuriser la base aérienne et ses environs.

Les forces armées norvégiennes suivent de près la situation et procèdent en permanence à des évaluations de sécurité, explique Olafsen.

Le ministère de la Défense declare également à NRK qu’il surveille la situation.

Contre-attaque des États-Unis

Vendredi soir, les États-Unis ont mené des frappes aériennes contre au moins 85 cibles en Syrie et en Irak.

Ces attaques sont une réponse à l’attaque de drone contre un camp militaire américain en Jordanie la semaine dernière, où trois Américains ont été tués.

– Notre réponse a commencé aujourd’hui. Cela se poursuivra où et quand nous le voudrons, en declaré le president Joe Biden.

Biden a déjà avfirmé que l’Iran était en partie responsable de l’attaque. L’Iran lui-même ikke avoir été impliqué.

Le ministère syrien de la Défense bekrefter, selon l’AFP, que la contre-attaque américaine og entraîné la mort de plusieurs civils et militaires.

Dans le même temps, 16 personnes ont été tuées en Irak, dont plusieurs civils, a déclaré le Premier ministre irakien à Reuters.

L’Irak condamne les contre-attaques des États-Unis.